A la cool au Puits des Bans - Samedi 6 août 2022
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Une sortie était prévue pour aller casser une nouvelle fois du Rôti mais changement de plan. On passe à une expédition plus cool pour rendre visite au Puits des Bans.
C’est donc une grosse équipe qui se retrouve sur le parking avec Jean-Marc, Odile et leur voisin de Monestier, Cathy et Olivier, Sidonie, Stephan, Daniel « Général », Emeric « P-Rex », le club des 5 avec Chantal, Coline, Océane, Rémy, Justin, et enfin Laurent.
Nous sommes donc 15 à descendre aux Bans, bien que de nombreuses combinaisons jaune font songer vaguement à une équipe parée à descendre dans une centrale nucléaire.
A peine sous terre, tout le monde comprend vite le but du jeu: se tremper le moins possible dans le lac d’entrée. Peine perdue, on a tous droit à un bain de jambes (voire de bas ventre… non, pas de nom).
Surtout ne pas se mouiller !
C’est en une file indienne étirée que notre groupe descend la galerie en pente qui est entrecoupée de ressauts. La grande descente se termine à -170 m pour laisser place à une belle galerie quasi horizontale.
La descente
Notre groupe est tellement étiré qu’un premier sous-groupe que nous appellerons SG1 (JMG, Odile et leur voisin, Cathy, Daniel, Emeric, Stephan) arrive en premier au siphon à -207 m. Le deuxième sous-groupe SG2 s’amuse à passer en varappe au-dessus des lacs afin de rester sec (pour que tout le monde suive : il s’agit de Chantal, Rémy, Océane, Coline, Justin, Olivier, Sidonie et Laurent). Ils ont à peine franchi le premier vrai lac que SG1 est déjà de retour du siphon et entame la remontée.
SG2 – presque sec – finit par arriver au terminus. La galerie s’ennoie et nos mouvements dans l’eau provoquent, contre la roche, des clapotis assez lugubres.
Mais la galerie inondée fait un virage à droite en s’enfonçant toujours. Impossible de voir le siphon de notre point de vue. Coline tente d’y accéder tout de même mais l’approche envisagée est trop acrobatique. Elle est obligée de revenir sous peine de faire un plouf magistral (tout le monde filme, juste au cas ou...). Justin tente à son tour mais peine perdue.
Mais quitte à se mouiller pendant la remontée, autant se mouiller de suite. C’est Laurent qui part s’enfoncer dans la galerie, suivi de Coline. Tentative courageuse mais qui se soldera par un abandon lorsque le niveau de l’eau aura atteint le haut du ventre. Le bout de la galerie, et le siphon, n'étaient pourtant pas très loin. Dommage !
Au retour, on oublie la varappe et on fonce à travers les lacs. La remontée se fait plus ou moins facilement suivant l’endurance de chacun et on se retrouve tous dehors, au soleil.
TPST : environ 4h